Vendredi 13 : le top 10 des malédictions made in NFL

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[tps_title]4. Buffalo : le temple de William McKinley[/tps_title]

C’est l’une des théories les plus farfelues, mais elle plait au sein du pays de l’Oncle Sam. En septembre 1901, peu de temps après sa ré-élection, le président William McKinley tient un discours devant 50 000 personnes à Buffalo à l’occasion de l’exposition pan-américaine. Le lendemain, au Temple of Music, il est assassiné par un anarchiste de deux balles dans l’abdomen. Un tournant de l’histoire qui aurait eu des conséquences fâcheuses pour les Bills selon certains.

Créée en 1959, la franchise n’a jamais remporté le Super Bowl et traine, avec les Minnesota Vikings, une triste réputation de loser lors de la grande finale, avec quatre Super Bowls de suite perdus entre 1990 et 1993. Le premier d’entre eux, abandonné aux New York Giants, se termine sur un field goal manqué du kicker Scott Norwood. Un coup de pied qui finira à droite des poteaux (les plus tordus évoquent le fait que McKinley était républicain donc politiquement de droite).

D’autres se rappelleront du 8 janvier 2000, où les Bills perdent à la toute dernière seconde à Tennessee, au premier tour des playoffs. Surpris par une passe latérale qui enverra Kevin Dyson au touchdown, les joueurs de Wade Phillips sont victimes à l’époque du « Music City Miracle ». Une défaite cruelle dans la ville de la musique, près d’un siècle après le meurtre du temple de la musique ? L’analogie est trop belle pour les plus inspirés.

Les plus sceptiques préciseront tout de même qu’Abraham Lincoln a été assassiné à Washington, sans qu’une malédiction n’ait touché les Redskins. Idem pour Dallas, malgré le meurtre de Kennedy en 1963. Deux équipes qui ont d’ailleurs battu Buffalo au Super Bowl. Certains esprits seraient-ils plus forts que d’autres ?

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