NFL Semaine 13 : tous les scores et résumés du dimanche

New England continue de dérouler, San Francisco va mieux, et tous les autres matchs.

Coup d’envoi dans la nuit de dimanche à lundi à 02h30

Seattle Seahawks (8-4) — Philadelphia Eagles (10-2) : 24-10

Coup d’envoi dimanche à 22h

Los Angeles Chargers (6-6) — Cleveland Browns (0-12) : 19-10

New Orleans Saints (9-3) — Carolina Panthers (8-4) : 31-21

Oakland Raiders (6-6) — New York Giants (2-10) : 24-17

La première de Geno Smith (21/34, 212 yards, 1 TD) n’a pas été une catastrophe, mais lui et Evan Engram (7 rec, 99 yards, 1 TD) ont été trop seuls. Toujours sans jeu au sol, les G-Men se sont fait dicter le tempo par les Raiders. Marshawn Lynch (17 courses, 101 yards, 1 TD) a donné le ton avec un touchdown de 51 yards dès la première série de son équipe (7-0). Mais New York n’a ensuite jamais vraiment lâché. Au milieu d’un océan de punts, Orleans Darkwa (14 courses, 32 yards, 1 TD) a égalisé au sol (7-7) en fin de premier quart. Le soucis de Smith, c’est qu’il a lâché deux fumbles alors que son équipe était en position de marquer dans le second quart. Il faut dire que les pass rushers n’ont pas été trop gênés par la ligne. À la pause, Oakland mène 10-7.

Après 4 punts pour démarrer la deuxième mi-temps, Derek Carr (22/36, 287 yards, 1 TD) y va aussi de son fumble. Mais quelques minutes plus tard, il mène un bon drive en distribuant bien le ballon, et DeAndre Washington termine le boulot avec un touchdown de 9 yards au sol (17-7). Le rythme s’emballe dans les dernières minutes, Smith et Engram se connectent pour un touchdown (17-14), mais Carr et Johnny Holton répliquent immédiatement (24-14), sur un drive bien lancé par un gain de 59 yards par Cordarelle Patterson (4 rec, 47 yards). À 1mn43 du terme, un field goal ramène les Giants à une possession (24-17), mais l’onside kick qui suit trouve les mains des Raiders.

Oakland remonte en première place de l’AFC Ouest à égalité avec les Chiefs et Raiders.

Arizona Cardinals (5-7) — Los Angeles Rams (9-3) : 16-32

Les Rams ont rapidement mis le pied sur le match, et ils ont su garder la main lorsqu’Arizona s’est un peu rapproché. Dans le premier quart, tout s’est déroulé parfaitement, avec un field goal (0-3), une interception, et une passe de touchdown de Jared Goff (21/31, 220 yards, 2 TDs, 1 int) pour Garrett Everrett (0-9) pour rapidement se détacher. Et même si Goff a été intercepté, la défense a rendu la pareille à Blaine Gabbert (18/32, 221 yards, 1 TD, 2 int), avec un Alec Ogletree qui a en plus retourné le ballon pour un touchdown (0-16).

Ce sont des touchdowns d’Elijhaa Penny et de l’inusable Larry Fitzgerald (10 rec, 98 yards, 1 TD) qui ont remis Arizona dans la coup au cours du second quart (13-16), pour finalement atteindre la pause menés 13 à 19.

Les équipes spéciales des Rams ont pris le relais dans la seconde partie du match. Un bon retour de punt de Pharoh Cooper a mis son équipe sur les 30 yards adverses. Quelques actions plus tard, Sammy Watkins(3 rec, 38 yards, 1 TD) a capté le cuir dans la end zone (13-26). Après un coup de pied réussi des Cardinals (16-26) en début de dernier quart, Phil Dawson a été bloqué sur une nouvelle tentative un peu après. Greg Zuerlein a bouclé l’affaire avec deux field goals de plus pour Los Angeles.

Avec 303 yards gagnés, les Rams ont été moins éclatants, mais ils assuré l’essentiel, notamment grâce à un Todd Gurley (19 courses, 74 yards – 6 rec, 84 yards) toujours productif. Gagner sans briller, c’est aussi une preuve que cette franchise est désormais solide.

Coup d’envoi dimanche à 19h00

Atlanta Falcons (7-5) — Minnesota Vikings (10-2) : 9-14

Jacksonville Jaguars (8-4) — Indianapolis Colts (3-9) : 30-10

Il faudrait que Blake Bortles (26/35, 309 yards, 2 TDs) affronte Indianapolis toutes les semaines pour Jacksonville. Le quarterback des Jaguars a été bon contre les Colts. Capable de trouver ses receveurs et de ne pas faire d’erreurs, il a guidé son équipe jusqu’à la victoire. Avec un lanceur adroit et une défense toujours aussi impressionnante, les floridiens n’ont fait qu’une bouchée de leurs adversaires.

Les Jaguars prennent les devant dès le premier quart temps suite à un touchdown de Marquise Lee (7 rec, 86 yards, 1 Td) trouvé par Bortles (7-0). un coup de pied pour chaque équipe et l’écart reste de 7 points au début du deuxième quart temps (10-3). Sur une nouvelle passe de Bortles à destination de Keelan Cole (3 rec, 49 yards, 1 Td), les Jags marquent un deuxième touchdown pour mener largement à la mi-temps, malgré une conversion à deux points ratée (16-3).

Rien ne change au début du 3e quart temps. Jacksonville impose son jeu à Indianapoli,s qui n’y arrive pas en défense comme en attaque. Avec un jeu de passes performant, Leonard Fournette (57 yards, 1 Td) est assez peu utilisé. Mais il réussit à marquer son touchdown dominical (23-3) sur une course de 5 yards. Les Colts réussissent leur seul et unique bon drive du match en arrivant à marquer un touchdown sur une passe de 40 yards de Jacoby Brissett (21/36, 174 yards, 2 Int, 1 Td) pour TY Hilton (3 rec, 51 yards). C’est l’unique accroc de la soirée pour les joueurs de Doug Marrone, qui se contenteront de 2 fields goals pour terminer le match. Score final 30 – 3.

Seul joueur heureux ce soir du côté d’Indianapolis : Frank Gore. Avec ces 61 yards à la course, il devient 6e (13697 yards) au classement de tous les temps des yards au sol.

Tennessee Titans (8-4) — Houston Texans (4-8) : 24-13

Le score parait large, mais les Titans ont tremblé jusque dans les derniers instants. L’ultime minute même. Alors qu’il ne reste que 50 secondes et que les Texans sont encore à portée de tir (13-17), Tennessee donne la balle à Derrick Henry pour qu’il récupère un first down qui plierait définitivement la rencontre. Le running back fait mieux que ça. Il parcourt les 75 yards qui le séparent de la end-zone. Un touchdown qui met enfin le match hors de portée des rivaux de Houston.

Jusque-là, les Texans avaient tout fait pour rester dans la partie. Ce sont d’ailleurs eux qui prennent le meilleur départ de ce match avec 10 points d’entrée, dont une passe de 4 yards pour Stephen Anderson (0-10). Mais avant la mi-temps, les partenaires de Marcus Mariota (15/23, 150 yards, 1 TD et 1 TD au sol) font l’effort pour revenir au score. Le quarterback lui-même prend les choses en mains grâce à ses jambes et égalise après une course de 8 yards (10-10).

Malgré un Tom Savage surprenant (31/49, 365 yards, 1 TD et 1 INT) et un DeAndre Hopkins toujours aussi spectaculaire (8 réceptions pour 80 yards), les Texans craquent dans le troisième quart-temps. Delanie Walker est à l’arrivée d’une passe de 24 yards au milieu du troisième quart-temps. Tennessee vient de prendre l’avantage et ne le lâchera plus jamais. Avec cette victoire, les Titans suivent le rythme des Jaguars en tête de l’AFC Sud et restent premiers de la division.

Buffalo Bills (6-6) – New England Patriots (10-2) : 3-23

Il n’aura fallu qu’un quart-temps aux Patriots pour venir à bout des Bills, le troisième. Au retour des vestiaires, les champions en titre ont fait des ajustements pour enfin lancer la machine que les Bills n’ont pas su arrêter. Une huitième victoire consécutive qui met la pression sur les Steelers en tête de la conférence.

Pourtant les Bills livrent la première mi-temps parfaite face aux Patriots. Du moins en défense. Aucun touchdown encaissé en 30 minutes, à peine trois fields goals autorisés à l’une des meilleures attaques de toute la NFL et moins de 100 yards pour Tom Brady. Seul regret pour les hommes de Sean McDermott : l’absence d’efficacité offensive. Derrière un jeu de course solide (LeSean McCoy, 15 courses pour 93 yards) les locaux avancent, mangent le chrono et gardent le quarterback adverse sur le banc de touche, mais n’arrivent pas à pénétrer dans la end-zone. La faute notamment à une interception lancée par Tyrod Taylor (9/18, 65 yards, 0 TD et 1 INT) dans les 5 derniers yards. Comme d’habitude, New England autorise beaucoup de yards, mais s’en sort avec seulement 3 points encaissés (3-9).

Mais le troisième quart-temps est fatal. New England prend Buffalo à son propre piège : la course. Les Patriots font beaucoup de dégâts au sol, notamment avec Dion Lewis (15 courses pour 92 yards), et c’est par ce biais qu’ils inscrivent leurs touchdowns. À deux reprises, Rex Burkhead trouve la end zone sur des courses de 1 et 14 yards [23-3]. Tom Brady (21/30, 258 yards, 0 TD et 1 INT) se met en route et, bien aidé par Gronkowski (9 réceptions pour 147 yards), se découpe la défense des Bills. Le match tourne même au cauchemar quand Tyrod Taylor sort du terrain sur blessure. Le score ne bouge plus et Nathan Peterman (6/15, 50 yards) n’en profite pas pour faire mieux que sa dernière apaprition avec beaucoup de passes imprécises. Ces deux équipes se retrouveront dans trois semaines, ce sera cette fois à New England.

Baltimore Ravens (7-5) — Detroit Lions (6-6) : 44-20

Detroit a peut-être perdu plus qu’un match ce soir. Dans le quatrième quart-temps, alors que les Lions tentent de recoller, Matt Stafford (24/29, 292 yards, 1 TD et 1 INT) est sacké et se fait mal à la main. Le quarterback sort du terrain et n’y reviendra plus. Pour l’instant, on en sait peu sur la nature de cette blessure, mais elle peut très largement compliquer la suite de la saison pour Detroit. Surtout après une nouvelle défaite comme celle-ci.

Comme à leur habitude les Lions commencent doucement le match. Mais alors très doucement. C’est simple, personne n’est dans sa rencontre du côté des hommes de Jim Caldwell. Ni la défense qui encaisse 20 points après deux fields goals et deux touchdowns (deux passes de Joe Flacco pour Ben Watson et Patrick Ricard pour 1 et 3 yards). Ni l’attaque, qui n’arrive pas à ouvrir son compteur et, surtout, qui laisse Stafford à l’abandon. Le quarterback est mis sous pression et rend deux ballons à l’adversaire. Résultat un 20-0 à la mi-temps pour Baltimore, porté par un bon Joe Flacco (23/36, 269 yards et 2 TDs).

En seconde période, on croit que les Lions vont sortir une remontée comme ils en ont le secret. Detroit inscrit deux touchdowns rapides par Theo Riddick (course de 4 yards) et Tion Green (course de 6 yards) et revient à une possession (20-13). Mais ce n’est qu’un feu de paille. La fin de la rencontre sera à sens unique avec trois nouveaux touchdowns des Ravens et un score qui gonfle (44-20). Mais on parie que les Lions vont surtout s’inquiéter d’une autre chose qui gonflait à vue d’œil à la fin du match : la main de Matthew Stafford. Il faudra bien entendu surveiller la blessure du quarterback. En attendant, les Ravens sont plus que jamais dans la course aux playoffs en AFC.

New York Jets (5-7) — Kansas City Chiefs (6-6) : 38-31

Les Chiefs s’enfoncent dans la crise, et ils ne peuvent s’en vouloir qu’à eux-mêmes. Entre une attaque irrégulière et une défense qui s’est tiré dans le pied au bazooka, Kansas City avait de quoi éviter une sixième défaite en sept matchs.

Partis sur les chapeaux de roues, les Chiefs menaient 14-0 après moins de 5 minutes de jeu et deux passages de Travis Kelce (4 rec, 94 yards, 2 TDs) dans la end zone. Sauf que leur défense a oublié qu’il fallait continuer à jouer, en laissant Bilal Powell (18 courses, 48 yards, 1 TD), Josh McCown (26/36, 331 yards, 1 TD – 7 courses, 19 yards, 2 TDs) et Matt Forte (15 courses, 58 yards – 3 rec, 33 yards, 1 TD) marquer avant la pause, pour permettre à New York de rentrer aux vestiaires avec l’avantage 21 à 17. Darrelle Revis, l’ancien Jets arrivé il y a quelques jours chez les rouges, a bien aidé son ancienne équipe, en esquivant parfaitement les contacts.

L’attaque rouge, elle, n’a fonctionné que par sursauts. Dans le troisième quart, c’est un touchdown de 79 yards de Tyreek Hill (6 rec, 185 yards, 2 TDs) qui a remis les Chiefs à égalité (24-24). Puis une autre explosion de Hill, pour 40 yards, qui les a mis devant à un peu moins de 10 minutes de la fin. Patients, les Jets ont répondu en avançant jusqu’à obtenir un field goal… sauf que la défense de Kansas City a alors offert un first down aux verts à cause d’une faute personnelle de Bennie Logan sur le long snapper Thomas Hennessy. Sur la troisième tentative suivante, c’est un holding défensif qui a relancé les Jets. MCown a donc fini par aller chercher le touchdown au sol. Et lorsqu’il a manqué la conversion à deux points, une pénalité lui a évidemment donné une seconde chance, évidemment saisie (38-31). Dans la folie du moment, Marcus Peters a même lancé le mouchoir de pénalité d’un arbitre dans les tribunes, avant d’aller aux vestiaires en pensant être expulsé… puis de revenir sans chaussettes lorsqu’on lui a expliqué qu’il n’avait pas du tout été expulsé…

Avec un peu plus de 2 minutes à jouer, Alex Smith avait l’occasion d’aller chercher la victoire. Une passe de 40 yards pour Hill l’a emmené sur les 23 yards adverses. Et puis… plus rien. Une passe de 4 yards, puis trois autres qui n’ont pas trouvé la cible.

Une défaite d’autant plus logique que les Jets, eux, ont été exemplaires. Ils ont marqué sur 7 de leurs 9 séries, en cumulant 488 yards et sans perdre le moindre ballon. Jermaine Kearse (9 rec, 157 yards) et Robby Anderson (8 rec, 107 yards) n’ont pas marqué, mais ils ont réussi un gros match.

Miami Dolphins (5-7) — Denver Broncos (3-9) : 35-9

Il fallait un vainqueur dans cette catastrophe footballistique à grande échelle, et ce sont les Dolphins qui décrochent la timbale. Rien n’a été épargné aux spectateurs de ce match en terme de médiocrité. Cinq interceptions au total, deux safeties, dont un sur un retourneur qui a trouvé plus intéressant d’aller en marche arrière, un fumble perdu…

Trevor Siemian (19/41, 200 yards, 3 INTs) a donné le ton dès son premier drive, bouclé par une interception. Sur le second, il n’a pas été aidé par un snap trop de haut de Matt Paradis, qui a provoqué le premier safety du match. Denver est brièvement repassé devant grâce à un field goal (2-3), mais Miami a fait la différence en quelques secondes, avec un touchdown de Jay Cutler (18/31, 235 yards, 2 TDs, 2 int) pour Julius Thomas (9-3), immédiatement suivi par une interception de Siemian retournée pour un touchdown sur l’action suivante (16-3). Cutler a bien tenté de remettre Denver dans la partie avec un combo interception-fumble-pick-6 qui a permis à Denver de revenir un peu dans le troisième quart (19-10). Mais Kenjan Drake (23 courses, 120 yards, 1 TD) a remis les pendules à l’heure dès la série suivante avec un touchdown au sol de 42 yards (26-9).

Dans le dernier quart, Kenny Stills (5 rec, 98 yards, 1 TD) a aggravé le score (33-9), avant un dernier safety (35-9). C’est un euphémisme de dire que les Broncos n’ont plus de quarterback.

Green Bay Packers (6-6) — Tampa Bay Buccaneers (4-8) : 26-20 a.p.

Brett Hundley (13/22, 84 yards, 1 int) entretient l’espoir ! Même si c’est plutôt Jamaal Williams (21 courses, 113 yards, 1 TD) et Aaron Jones qui ont fait la différence. Le premier en portant l’attaque sur ses épaules. Le second en allant marquer le touchdown de la gagne sur la première possession de la prolongation.

Les Buccaneers ont été à l’image de Jameis Winston (21/32, 270 yards, 2 TDs) : capables du meilleur et du pire. Tampa a pris l’avantage en début de match sur une passe du quarterback pour Cameron Brate (2 rec, 39 yards, 2 TDs). Ils ont ensuite été dépassés par un field goal (3-7), un touchdown de Williams (10-7), et surtout un nouveau fumble assez clownesque de Winston, qui a échappé le ballon directement dans les mains du défenseur Dean Lowry, qui a ensuite filé au touchdown (17-7).

https://twitter.com/NFL_Luluzinha/status/937400177589137409

Après cette bévue, Tampa s’est remis en ordre de marche, avec un field goal (17-10), un troisième quart-temps sans prendre de points, un autre coup de pied (17-13), et un nouveau touchdown de Brate (17-20) pour passer devant à 6 minutes du terme, alors que Winston s’était fait annuler un touchdown sur l’action précédente pour avoir lancé une passe bien après avoir passé la ligne de scrimmage.

Les Packers sont alors remontés jusqu’au 5 yards adverses. Mais sur 3e et 1 yard, plutôt que de faire confiance à ses coureurs, Mike McCarthy a préféré appeler une passe. Raté. Le field goal égalise (20-20) à 2 minutes de la fin. Les Buccaneers n’ont pas réussi à marquer sur leur dernière série, et le match a été envoyé en prolongation. Williams et Hundley ont alors gagné tous les yards de leur équipe, au sol ou dans les airs, avant de laisser à Jones le soin de filer sur 20 yards au touchdown sur sa seule course du match.

Chicago Bears (3-9) — San Francisco 49ers (2-10) : 14-15

Il n’a pas lancé de touchdown, mais Jimmy Garoppolo (26/37, 293 yards, 1 int) a mené son équipe à la victoire pour sa première titularisation avec les 49ers. À 5mn27 de la fin, il a récupéré le cuir pour diriger un long drive, avec trois conversions sur troisième tentative, et finalement bouclé par un field goal de Robbie Gould à 4 secondes de la fin du match pour remettre San Francisco devant pour de bon.

Dans ce match très pauvre offensivement, ce sont les Bears qui ont marqué le seul touchdown, sur une passe de Mitch Trubisky (12/15, 102 yards, 1 TD) pour Dontrelle Inman (2 rec, 21 yards, 1 TD) qui a permis à Chicago de prendre l’avantage 7-3 dans le premier quart. Tarik Cohen a aussi permis à son équipe de prendre le large sur un retour de punt de 61 yards assez fou (14-6).

Finalement, Gould a réduit le score à 14-9 à la pause.

Incapables de s’approcher de la zone rouge adverse en deuxième mi-temps, les Bears ont vu les visiteurs revenir au pied grâce à un drive de plus de 8 minutes dans le troisième quart (14-12), puis un autre en toute fin de match, pour le field goal de la gagne. Une victoire difficile mais logique. Les Niners ont gagné 388 yards, contre seulement 147 pour Chicago !

 

Résumés par : Lucas Vola, Gregoire Lefevre et Alain Mattei

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