S’il quitte les Patriots, Bill Belichick ne rêverait que d’une seule équipe

Officiellement, tout va bien à New England. Malgré les rumeurs de tensions entre Robert Kraft, Bill Belichick et Tom Brady, les trois hommes ont publié un communiqué pour assurer qu’ils...

Officiellement, tout va bien à New England. Malgré les rumeurs de tensions entre Robert Kraft, Bill Belichick et Tom Brady, les trois hommes ont publié un communiqué pour assurer qu’ils vont se battre ensemble pour un nouveau titre.

Mais si l’édifice finissait pas s’écrouler ? Et si Bill Belichick était celui qui devait partir ? Qui voulait partir ? Dans ce cas, l’itinéraire serait peut-être simple.

« Les Giants sont la seule franchise où il veut aller », assure un de ses proches au Daily News.

Et ce n’est pas une surprise. Car c’est bien à New York que la carrière de Belichick a décollé, lorsqu’il était le coordinateur défensif qui a aidé les G-Men à remporter leurs deux premiers titres.

« Il veut être le coach des Giants. Je le sais, c’est un fait. Ce serait assez cool. Je suppose que s’il veut partir, les Giants le savent déjà. Il serait parfait avec Dave Gettlman (le nouveau manager général, NDLR). Ce sont des gars qui vivent football. »

Ironie du sort, les dirigeants des Giants étaient bien à Boston vendredi, mais pour faire passer des entretiens aux coordinateurs Josh McDaniels et Matt Patricia.

Mais si les patrons New yorkais pensent qu’il y a une opportunité, même infime, de décrocher Belichick, alors ils ont tout intérêt à se renseigner.

« J’ai adoré être ici »

Belichick garde une affection particulière pour les Giants. En 2009, lors d’un reportage dans l’ancien Giants Stadium, avant sa démolition, il avait eu les larmes aux yeux.

« C’est une grande franchise. C’est dur de ne pas être ému. J’ai adoré être ici. J’ai adoré être ici. »

En 1997, Bill Parcells avait mené les Patriots au Super Bowl avant de partir chez les Jets contre quatre choix de Draft. Parcells était justement le coach principal des Giants quand Belichick y travaillait. Pourrait-il suivre son exemple ?

Ce qui est sûr, c’est qu’il ne faut rien exclure avec Belichick. Les supporters des Jets n’oublient pas que l’homme au sweat a capuche a démissionné au bout d’une journée chez les verts en 1999. Il avait à l’époque griffonné sa démission en une phrase sur une serviette en papier, avant de l’annoncer en conférence de presse. Quelques jours plus tard, il était arrivé à New England, et les Patriots ont du donner un choix du premier tour aux Jets en guise de compensation.

Et si l’histoire connaissait un nouveau rebondissement ?

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