Teddy Bridgewater : « 2017 a été ma saison préférée »

Malgré une saison passée sur le banc, Teddy Bridgewater veut garder un regard positif sur 2017. Lors d’un entretien pour ESPN, le quarterback des Vikings a même livré une vision...

Malgré une saison passée sur le banc, Teddy Bridgewater veut garder un regard positif sur 2017.

Lors d’un entretien pour ESPN, le quarterback des Vikings a même livré une vision extrêmement heureuse de cette période.

« C’était probablement ma saison préférée jusqu’à présent même si je n’ai pas beaucoup joué. Cette saison a mis mon mental à rude épreuve parce que même si je voulais jouer, être un compétiteur et aller à la guerre  avec mes gars, j’ai dû répondre présent d’une autre manière. J’ai dû être la mentalement avec eux. Mon rôle a été différent et je l’ai accepté. Ça a été dur parce que je suis un compétiteur, mais je n’échangerais cette année pour rien au monde ».

Teddy Bridgewater est aussi revenu sur sa place de numéro 2 à son poste.

« En tant que numéro deux, il faut toujours être prêt. C’était différent pour moi parce que je n’avais jamais connu cette situation. Mais ça m’a aidé à voir le jeu avec un autre point de vue. Le jeu a ralenti à mes yeux parce que je l’observais du bord du terrain ».

Le quarterback de 25 ans va devenir un free agent le 14 mars et son avenir avec les Vikings est plus qu’incertain. Pourtant, le joueur a voulu montrer des signes d’humilité. Avant sa déclaration à ESPN, Il avait déjà posté une série de photo la semaine dernière sur Twitter témoignant de son engagement auprès de ses coéquipiers.

En 2017, Bridgewater a passé les 6 premières semaines sur la liste des blessés à cause de son genou. Il était revenu à la compétition en octobre et avait rempli le rôle de remplaçant de Case Keenum. Il n’avait joué que lors du 4ème quart-temps de la victoire écrasante de son équipe face à Cincinnati (34-7) pour des statistiques inexistantes. Mais l’essentiel était ailleurs.

« Quand j’ai entendu la foule et que j’ai vu Case mener le chant Skol, c’est un moment indescriptible. J’ai crié, crié et crié. Le plus fort que j’ai crié à un match. »

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