Kirk Cousins (Vikings) sur la COVID-19 : « Si je meurs, je meurs »

A quelques jours de la reprise de la saison régulière, le quarterback des Vikings n’est pas du tout inquiet du contexte sanitaire dans lequel il va devoir évoluer. Au cours d’une interview dans le podcast Spotify « 10 questions with Kyle Brandt », Kirk Cousins a confié qu’il était très loin des préoccupations liées aux risques du coronavirus.

« Je veux respecter les préoccupations des autres. Pour moi personnellement, je dirais que je vais continuer à me consacrer à ma vie quotidienne. Si je l’ai, je vais m’en sortir. Je vais laisser la nature suivre son cours. J’adopte l’approche de la survie du plus adapté. Et je le dis simplement, si ça m’assomme, ça m’assomme. Je suis d’accord avec ça. Même si je meurs. Si je meurs, je meurs. Je suis en quelque sorte en paix à ce sujet. « 

Cousins ​​a également indiqué au cours de l’interview qu’il ne pensait pas que les masques faciaux contribuaient à empêcher la propagation du virus. Cependant, il a répété à plusieurs reprises qu’il respectait les préoccupations des autres concernant la Covid-19.

« Cela n’a vraiment rien à voir avec mes propres pensées personnelles. Mais le porter c’est vraiment être respectueux envers les autres. »

Le joueur devra de toutes façons s’en accommoder car le protocole NFL pour les jours de match imposera que chaque entraîneur et membre du personnel dans la ligne de touche porte un masque.

A la question ​​d’évaluer son niveau de préoccupation sur une échelle de 1 à 10, 1 étant la personne qui dit « les masques sont stupides, vous êtes tous des idiots « , et 10 signifie « je ne quitterai pas ma salle de bain pendant les 10 prochaines années », le lanceur de Minnesota en a remis une couche.

« Je ne traiterai personne de stupide, pour les ennuis que cela me causerait. Mais je suis environ un .000001. »

Kyle Brandt a également demandé à Cousins quelle serait la réaction générale si un coéquipier éternuait pendant le huddle.

 » Je pense même qu’à l’intérieur de la franchise, il y a une partie des personnes qui se moquent du virus, ne s’en inquiètent pas, n’ont jamais perdu une minute de sommeil à ce sujet. Et puis il y a des gens d’un autre côté, qui chaque seconde de chaque jour, sont envahis par la peur. »