Six nouvelles révélations choc sur Aaron Hernandez

C’était prévisible, la chute d’Aaron Hernandez s’accompagne au fil des jours de nouvelles révélations sur le mode de vie du joueur. Le magazine Rolling Stone est le dernier à être aller fouiller dans l’histoire du tight end, et il y a fait quelques découvertes étranges et inquiétantes.

L’article complet n’est pas encore disponible, mais nos confrères ont décidé de jouer le teasing en mettant en ligne sur leur site six des révélations chocs sur la vie de celui qu’ils surnomment le « Ganster in the Huddle. »

– Hernandez était un gros consommateur de phéncyclidine (PCP), une drogue hallucinogène également appelée « Angel Dust. » Conséquence de la drogue ou non, il est devenu tellement paranoïaque ces dernières années qu’il emmenait une arme partout avec lui.

– Il s’est entouré de gangsters et a coupé les ponts avec sa famille et ses coéquipiers.

– Avant l’affaire d’homicide, Bill Belichick était déjà très énervé par Hernandez, notamment à cause d’absences à l’entrainement et d’un comportement « de voyou. » Le coach était tellement énervé que Hernandez était à une erreur de se faire couper.

– Les deux parents d’Hernandez ont un casier judiciaire, tout comme une bonne partie de sa famille.

– La mère d’Hernandez aurait trompé son père avec un « violent dealer de drogue. » À la mort du père d’Hernandez, le dealer en question aurait emménagé avec lui et sa mère.

– À la fac de Florida, le coach Urban Meyer aurait couvert des tests anti-drogue ratés et deux incidents violents (une agression et une fusillade) impliquant Hernandez.

S’ils sont vrais, ces éléments donnent aussi un autre regard sur le destin tragique du joueur.