Jim Schwartz n’a pas peur de la crise cardiaque

Après avoir vu Gary Kubiak s’écrouler à la mi-temps du dernier match des Texans, certains coaches se sont peut-être posé quelques questions sur leur rythme de travail.

Mais Jim Schwartz, lui, ne compte pas changer sa manière de faire.

« C’est un peu comme quand, dans le vestiaire, on parle d’un joueur qui s’est déchiré les ligaments ou qui s’est blessé. Si vous laissez ça affecter votre travail, vous êtes dans le mauvais bateau », explique le coach au Detroit Free Press. « Les coaches ne bossent pas 100 heures par semaine parce que c’est bon pour la santé. Ils le font parce que c’est le boulot qui veut ça. C’est comme ça. »

Le coach des Lions n’a donc pas peur de la crise cardiaque.