Les Packers comptent davantage utiliser Eddie Lacy

Avec 284 courses et 35 réceptions au compteur la saison dernière, Eddie Lacy n’a pas chômé. En l’absence d’Aaron Rodgers, le rookie est rapidement devenu un pion essentiel de l’attaque...

packers_logo13Avec 284 courses et 35 réceptions au compteur la saison dernière, Eddie Lacy n’a pas chômé. En l’absence d’Aaron Rodgers, le rookie est rapidement devenu un pion essentiel de l’attaque des Packers. Et ça ne semble pas prêt de changer. Bien au contraire. La franchise du Wisconsin compte bien étendre le temps de présence du coureur sur le terrain la saison prochaine. Et ce pour plusieurs raisons.

La première, c’est bien évidemment que Lacy apporte un équilibre bienvenu à une escouade longtemps unidimensionnelle. Ses 1178 yards et 11 touchdowns la saison passée donnent une idée du potentiel du mastodonte, au sein d’une attaque qui a vu les quarterbacks se succéder les uns après les autres.

« Nous voulons qu’il touche davantage le ballon, tout en essayant de l’impliquer plus encore dans toutes facettes du jeu, » explique le coordinateur offensif Tom Clements.

Mais plus que ses occasions de briller ballon en main, c’est bel et bien son temps de présence sur le terrain qui pourrait être étendu.

En effet, l’autre raison, et probablement la principale, c’est que Mike McCarthy souhait au maximum réduire les changements susceptibles de casser le rythme et de ralentir l’attaque. Le head coach espère ainsi que Lacy soit capable de demeurer sur le terrain sur les trois premières tentatives pour permettre d’imprimer un tempo soutenu.

En définitive, pas nécessairement plus d’occasions, mais plus de temps de jeu. En 2013, Eddie Lacy a participé à 60.2% des snaps offensifs des Packers. Pour demeurer plus longtemps sur le terrain, le running back devra progresser en protection. Il devrait également voir le nombre de passes adressées en sa direction légèrement augmenter.

Avec un an d’expérience derrière lui et une meilleure préparation, Lacy devrait une nouvelle fois semer la pagaille dans les lignes défensives adverses. De quoi faire la joie d’Aaron Rodgers.

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